.. en passant sur LCP ou (tv5monde xxx ) cet am.
Reportage sur un établissement nantais qui accueille des handicapés.
Je suis arrivé à la fin de l'émission, au moment ou une femme docte et compatissante nous expliquait d'un air pénétré qu'il y avait plusieurs sortes de handicap, et qu'il fallait comprendre chacun d'eux pour que la personne atteinte ne se sente pas ostracisée....
émission bien entendue NON SOUS TITRÉE POUR LES MALENTENDANTS.
Exemple parfait...
Rédigé à 22:39 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les hypocrites ne se contentent pas d'être méchants, ils veulent encore passer pour être bons.
Fénelon. Les aventures de Télémaque (1699)
Rédigé à 00:41 | Lien permanent | Commentaires (0)
et si j'emploie un interprète de LSF juste pour traduire ce qu'il ENTEND pour le signer a destination d'un sourd, mais qui n'est pas muet , l'interprete n'aura que la moitié du travail à faire car il n'aura pas a retraduire des signes en français, donc , je peux le payer demi tarif ?
Rédigé à 23:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
je ne suis pas très à l'aise avec la notion théorique de transfert. En pratique c'est plus facile et très intuitif.
Il s'agit, sur le principe, de passer d'une gestuelle détachée de soi à une prise de rôle ou soi même devient ce que l'on est en train de dire.
Classiquement, un sourd parlant de lui même, expliquant un truc qui lui est arrivé, commencera par définir la scène, : "hier je suis allé chez ma cousine" (hier cousine ma moi aller chez" puis "j'ai sonné à la porte" en mimant le fait de sonner à une porte, avec tout son corps (et non pas "porte sonner fini" qui semble complètement incongru dans le contexte)
entre la prise de rôle et la description en suite de signes, s'établit une sorte d'équilibre, avec des allers retours, en fonction intuitive de ce qui est le plus compréhensible.
"un homme promène son chien" en signes, "il le caresse" (prise de role du maitre), "le chien est content" (prise de role du chien, mais partielle avec le signe "le chien remue la queue, mais le regard dirigé vers le maitre situé en haut ) "les deux s'éloignent" (classificateurs)
je ne sais pas si je suis très clair, mais c'est comme ça que je le ressens, mais c'est un truc qui se travaille, et s'intègre assez vite
on a aussi ce genre de démarche quand un narrateur ( le signeur) raconte un dialogue entre deux personnes. Il y a trois cas :
le narrateur parle
la personne A parle
la personne B parle
en français écrit, ce sont des tirets ou des guillemets qui rythment le dialogue et permettent de savoir qui parle :
un couple se promène, s'arrête devant la carte d'un restaurant .
-"Qu'en penses tu ?" demande la femme ?
-"Ca me parait apétissant !" réponds le mari
les deux poussent la porte du restaurant .
c'est par une prise de rôle, soit total (on MIME A, on MIME B) soit partiel ( on est A/B , mais qui signe ) que l'on aura l'équivalent en LSF
Rédigé à 22:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
Sous ce lien, un exemple du manque de normalisation des néo-signes de LSF.
Un problème qui, à mon avis découle directement du manque de volonté d'ouverture des sourds (les raisons sont à chercher dans l'histoire)
Rédigé à 10:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
suite à spam, des capcha sont désormais nécessaires.
si ça se calme, on verra pour la suite.
edit :c'est calmé j'enlève les capcha pour test (09/11/13)
Rédigé à 10:05 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les personnes ne comprenant pas bien le français ainsi que celles ayant des troubles de la parole ou de l'audition doivent se faire proposer les services d'un interprète lors de toute audition. Il s'agit là, de la part du ministère de la Justice, de la transposition d'une directive du Parlement européen et du Conseil, parue au JO de l'Union le 26 octobre 2010. En fouillant dans les archives du JO de l'Union européenne, à la date du 18 mars 2010, on retrouve cette initiative, où l'on ne peut que constater que la France fait partie des treize pays qui étaient à l'origine de cette décision.
trouvé là
Rédigé à 10:43 | Lien permanent | Commentaires (0)
Toute une journée à faire l'interface en LSF (en alternance avec une autre interface, que je salue ici, puisqu'elle me lit..). Il y avait pénurie d'interprète donc j'ai rendu service, avec mes faibles moyens.
C'est totalement EPUISANT psychiquement !
Je ne sais pas comment font les interprètes professionnels qui font ça toute la journée, et tous les jours... !
Rédigé à 22:38 | Lien permanent | Commentaires (0)
ce soir sur D8 il y avait une nouvelle série qui commençait. Hells on Wheels ou l'enfer de l'ouest.
3 saisons de 10 épisodes chacunes, de quoi passer quelques bonnes soirées.
on s'installe devant et ... PAS DE SOUS TITRES
Merci D8 d'empêcher les sourds de regarder la télé.
Rédigé à 21:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
en complément de cours d'une part , et d'immersions, toujours indispensables, comme dans n'importe quelle langue.
Rédigé à 17:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
Rédigé à 23:22 | Lien permanent | Commentaires (0)
aucun rapport avec la langue des signes, mais bon ... :)
Rédigé à 19:32 | Lien permanent | Commentaires (1)
ce sont deux de mes anciens profs...
ce qu'ils font est sympa, ils sont compétents et diplomés, contrairement à d'autres qui squattent certains lycées de la région, se faisant passer pour profs alors qu'ils n'en ont absolument pas les compétences.
si vous etes un prof intéressé par une telle démarche, contactez des organismes sérieux svp.
Rédigé à 17:53 | Lien permanent | Commentaires (0)
Ce n'est pas vraiment de la LSF, même si l'on capte le sens en reconnaissant des mots, mais esthétiquement, c'est très beau.
Typique Découfflé
Rédigé à 23:32 | Lien permanent | Commentaires (0)
Un grand merci à la chaine D8 pour ne pas avoir sous titré l'épisode 7/8 de la saison 2 de Braquo, diffusé ce soir. alors que les autres épisodes l'étaient .
Foutage de gueule.
Rédigé à 23:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
Rédigé à 16:06 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le périphérique parisien a une forte capacité de nuisance sur ses voisins. C'est la conclusion d'une série d'études menées entre 2009 et 2011 et dont l'association francilienne Bruitparif publie une synthèse, jeudi 27 septembre.
Dans une bande de 150 mètres autour des 35 km de boulevard périphérique de la capitale, 41 000 personnes seraient exposées à un niveau de bruit excédant la valeur limite journalière moyenne (68 décibels) et 37 000 la valeur limite de nuit (62 dB), selon ces études.
"40 000 personnes, sur 150 mètres autour d'une seule infrastructure, ce n'est pas neutre. Il est de plus en plus reconnu que le bruit a des impacts sur la santé, notamment en raison de son incidence sur le sommeil", a indiqué à l'AFP Fanny Mietlicki, directrice de Bruitparif.
RÉDUIRE LA VITESSE, CHANGER LE REVÊTEMENT
Pour obtenir une "réduction suffisante" des nuisances, "il faut cumuler plusieurs actions, il n'y a pas de solutions miracles", ajoute-t-elle. L'association, née en 2004 à l'initiative du conseil régional d'Ile-de-France, estime qu'un abaissement de la vitesse maximale autorisée de 80 à 50 km/h "permettrait vraisemblablement de réduire les vitesses effectives de circulation de l'ordre de 20 à 25 km/h, ce qui pourrait théoriquement se traduire par une baisse d'environ 3 dB des niveaux sonores nocturnes".
Couplée à un choix de revêtements moins bruyants, cette décision permettrait de diminuer de moitié le nombre de personnes exposées au dépassement de valeur limite nocturne estime Bruitparif.
La mairie de Paris envisage en ce moment un abaissement de la vitesse maximale autorisée à 70 km/h sur le "périph". "Cela représente, la nuit, une baisse de l'ordre de 1 à 1,5 dB, c'est-à-dire comme s'il y avait 20 % de véhicules en moins... Ce n'est pas extrêmement perceptible à l'oreille et cela n'est pas suffisant pour améliorer réellement les conditions de sommeil des riverains, mais cela va néanmoins dans le bon sens", souligne Mme Mietlicki.
Rédigé à 19:52 | Lien permanent | Commentaires (0)
Rédigé à 23:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
niveau 9 Urapeda (équivalent Visuel du B1-1) dans la boite !
ce fut dur et j'ai vraiment mesuré le chemin parcouru, mais aussi celui qui reste a faire pour avoir une expression correcte, et surtout pour mieux traduire quand un signeur signe vite.
En fait il suffit de mal interpretéer un signe pour se tromper de contetxte et traduire aisnsi tout le reste de la phrase avec un splendide contre sens.
Ca va quand on peut revoir le discours, mais, dans un contexte de traduction en temps réel, et bien on se sent vraiment minable... :)
Rédigé à 23:04 | Lien permanent | Commentaires (0)
Depuis le
les sourds français sont en droit de s’estimer historiquement lésés dans leur culture (suivez le lien pour en savoir plus si vous le souhaitez).Depuis 1880, donc, leur lutte pour exister, face à un système ne voulant pas entendre (un comble !) leur problématique a été semée de déceptions, de victoires, d’impatiences devant la conquête trop lente de leur citoyenneté.
Il s’en est ensuivi une marginalisation, voire ghettoïsation des sourds, encore très prégnante aujourd’hui, des deux côtés de la barrière invisible.
On le sait, et tous les sociologues vous le confirmeront, une communauté ghettoïsée, à qui on dénie le droit à l’instruction, à la culture, donc, par voie de conséquence, à l’emploi et à l’aisance est une communauté fragilisée, qui peut céder facilement aux sirènes les moins bien intentionnées.
Les « banlieues » et l’alcool hier, l’islamisme aujourd’hui, ne sont qu’un simple exemple de ces dangers.
Les sectes en sont un autre : il est de notoriété publique que les témoins de Jéhovah orientent leur prosélytisme vers les sourds.
Aujourd’hui, les sourds s’en sortent, peu à peu (oui, trop lentement, c’est entendu). Ils acquièrent leur place dans la société française. Des ponts, encore fragiles, se créent entre leur communauté restée méfiante, et quelques fractions du monde des entendants.
80 % des sourds , aujourd’hui encore, ont un problème avec le français. Un travail immense reste à faire.
Tout ce qui peut les distraire de cet horizon, les égarer sur des impasses, doit être condamné.
Les linguistes ont l’habitude d’opposer langage véhiculaire et langage vernaculaire. Si le premier sert de vecteur d’échange entre communautés, le second n’a cours qu’au sein d’une communauté.
La LSF est donc, quoi qu’on en dise, typique d’un langage vernaculaire, par opposition au français qui est véhiculaire, à l’échelle de la nation, voire de la nombreuse diversité francophone mondiale. L’anglais s’imposant peu à peu comme vecteur d’échange entre le monde anglo saxon et les autres.
Dans cette optique de poupées russes, il ne faut surtout pas se tromper de combat. De nombreuses sectes, mouvements, partis, mouvements d’idées, tous plus ou moins en perte de vitesse, ont bien compris l’intérêt potentiel de raccrocher des sourds à leur wagon en panne. Pas pour les aider, oh non ! mais pour les phagocyter, faire du volume avec leurs carcasses digérées. Les témoins de Jéhovah ont ouvert la voie. Sur internet on trouve de nombreux preches islamistes en langue des signes.
Et c’est bien dans cette logique que les régionalistes trouvent tout à coup que les sourds sont « un peuple frère maltraité avec qui ils partagent un long passé de d‘oppression »
Méfiance, amis sourds. Apprenez le français. Puis cultivez vous avec, ne laissez pas des mecs dont les finalités sont autres vous voler votre travail.
Rédigé à 16:04 | Lien permanent | Commentaires (0)
Dans le cadre du festival du conte de Baden, je suis allé voir le spectacle "au pied levé !" de Laurence Durand et Annaïg Le Naou.
Spectacle de contes et d'historiettes locales et sympathiques, son principal intérêt réside, outre le professionalisme indéniable des deux comédiennes, dans leur connaissance de la LSF.
Si Laurence Durand, comédienne très vive et inspirée, signe vraiment très bien, j'ai pu le voir en discutant avec elle après le spectacle, Annaïg Le Naou est interprète en LSF, ce qui me laisse toujours admiratif, voire pantois quand je vois la facilité, la fluidité, la précision de sa gestuelle en temps réel.
Le mélange entre sa technique et sa traduction théatralisée du discours de sa co-conteuse donne vraiment un spectacle intéressant, et surtout accessible aux entendants comme aux sourds.
Rédigé à 23:38 | Lien permanent | Commentaires (0)
Ca y est , ça a été dur a monter au niveau de l'acceptation de mon employeur, mais je pars en stage pour acquérir un niveau de plus en LSF.
Une semaine de stage intensif.
Ca va être dur, mais je suis ravi.
Rédigé à 11:04 | Lien permanent | Commentaires (4)
Dans le cadre de la fête des mains , je suis allé voir "la langue d'Anna".
Pièce de théâtre basée sur des morceaux choisi du roman de Bernard Noel.
L'idée était ambitieuse puisqu'à partir d'acteurs non professionnels, organisés en binômes (un verbal, un signant) il fallait déclamer ces morceaux choisis.
Malheureusement, le travail remarquable de la metteuse en scène est tombé à côté de la cible, puisque le texte déclamé était exact, mais son écho en LSF n'était qu'évoqué, imagé, mimé. Pour un entendant signeur, comme moi, c'était esthétique et intéressant, mais le public, à majorité sourd profond, ne POUVAIT pas comprendre ce qui se passait sur scène .
Dommage.
Rédigé à 11:38 | Lien permanent | Commentaires (0)
Accessibilité sous titrage sur BFMTV : les dimanches 22/04 et 06/05 de 19h à 22h sur BFMTV, les sourds et malentendants pourront profiter du sous-titrage en direct lors des soirées électorales.
Rédigé à 18:24 | Lien permanent | Commentaires (0)
http://www.liberation.fr/societe/2012/04/10/pour-les-sourds-la-campagne-manque-de-sous-titres_810775
je vous recommande le signe pour "Bill Clinton" à la fin de la videéo d'Emmanelle Laborit :)
Rédigé à 23:34 | Lien permanent | Commentaires (0)
(en réponse à une question d'ares)
Bonjour Ares, c'est assez dur de définir ce concept.
si l'on cherche la définition, on trouvera des trucs du style " traces structurales d’une visée illustrative de l’expérience sensible " ou encore "Qualité de représentation visuelle d'un signe".
N'étant pas assez culturationné pour pousser du beau langage dans de pédantes assemblées universitaires, je préfère décrire ceci comme suit :
En LSF, le signe va évoluer en permanence entre deux pôles opposés : l'image, et le symbole.
côté image, des signes a la limite du mime, tel que fenêtre ou téléphone, vont s'opposer a des signes beaucoup plus abstraits comme cher ou semaine ...
le signeur va sans arret évoluer, dans la construction de son SIGNAIRE personnel (l'équivalent de VOCABULAIRE) entre le mime et le symbole abstrait.
L'iconicité est la qualité d'un signe a porter intrinsèquement le sens qu'il veut émettre, donc à se rapprocher du pôle "mime".
Moi qui ne dispose que d'un signaire insuffisant, quand je rencontre un terme inconnu à signer, je trouve un geste le représentant, donc porteur d'iconicité. Et, bien souvent, mon interlocuteur, plus avancé que moi en LSF me coririge an m'apprenant que ce terme possède un signe, PLUS SYMBOLIQUE, et MOINS ICONIQUE.
Je connais un formateur en LSF (sourd) qui dit a ses élèves "toi tu fais preuve d'iconicité " c'est a dire, d'une capacité à trouver un signe improvisé, dans l'esprit de la LSF.
Rédigé à 15:38 | Lien permanent | Commentaires (3)
Le journal Ouest France, en partenariat avec l'association Lilavie et avec l'association Art'Sign, propose sur son site internet, un nouveau service.
Le vendredi, une fois tous les 15 jours, des articles en français facile, traduits en langue des signes, sont mis en ligne. Si ce site plaît et intéresse,
la diffusion se fera chaque semaine.
Prochainement, il sera possible de s'inscrire, pour recevoir une alerte mail, informant dès que de nouveaux articles sont proposés.
N'hésitez pas à envoyer votre avis, vos remarques, pour que le service évolue. Et aidez à le faire connaître, pour quil puisse continuer à exister !
Pour en savoir plus :
http://www.ouest-france.fr/actu_sourds_-L-info-en-francais-facile_2034160_dossiers.Htm
Cordialement,
L'équipe Info-Fax
Association Lilavie
Services Info Fax / Vite Lu
15-17, Quai Gambetta
53000 LAVAL
Tel : 02.43.53.18.34
Fax : 02.43.53.42.32
Mail : [email protected]
Mail : [email protected]
Site : www.lilavie.fr
Le journal Ouest France, en partenariat avec l
Le journal Ouest France, en partenariat avec l
Le journal Ouest France, en partenariat avec l
Rédigé à 18:58 | Lien permanent | Commentaires (0)
Méfiez-vous des interprètes en langue des signes qui travaillent pour la Mafia, ils ne sont pas toujours fidèle dans leur traduction.
En voici un exemple :
Luigi Costello, un des parrains de la Mafia new-yorkaise, s'est fait voler un million de dollars par un de ses capos, Tony dit le sourd. Il devait récupérer la mallette remplie de billets après d'une livraison de drogue mais depuis 2 jours il a disparu avec l'argent.
Fou de rage, Luigi lance tous ses hommes à sa recherche. Une semaine plus s'écoule et finalement Tony se fait coincer dans sa planque près du pont de Brooklyn. On le conduit alors sans ménagement dans le bureau du Parrain. Celui dernier hurle, s'agite, le frappe mais rien n'y fait, Tony ne comprend rien.
Alors Costello ordonne : "Faites venir Mario l'interprète en langue des signes".
Quelques heures après, Mario arrive et Costello tout mielleux demande :
- "Tony, regarde j'ai fait venir exprès un interprète donc maintenant tu comprends tout ce que je dis, tu n'as plus d'excuses. S'il te plait dis-moi où est l'argent et je passerai l'éponge, c'est promis".
L'autre fait non de la tête.
- "Tony, ne me mets pas en colère. Dis-moi où tu as mis l'argent!"
L'autre, le visage fermé, fait de nouveau non.
- "Tony ! hurle Costello, si tu ne me dis pas tout de suite où est le fric, je te fais découper à la tronçonneuse et je coule les morceaux dans le béton ! Et, Mario tu lui traduis mot pour mot ce que je viens de dire sinon tu le rejoins dans le béton ! Capito ?"
Et Mario fidèlement interprète en langue des signes italiano-américaine chacune des paroles de son boss.
Alors Tony qui sait bien que le Parrain ne plaisante pas commence à paniquer et répond en signant à toute vitesse : "j'ai pas touché au million de dollars, il est toujours dans la mallette et je l'ai planquée à la consigne de la gare de Grand Central casier 289. La clé est dans ma chambre, sur la moulure au-dessus de la porte".
- "Mario tu traduis ! Il a dit quoi avec ses mains ? demande le parrain.
- Il dit que vous n'avez rien dans le pantalon et que vous n'oserez jamais le faire exécuter !" .
--------------------------------------------------------------------------------------------
trouvé sur ce blog
Rédigé à 20:13 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires récents