Quand Georges Pompidou a succédé à Charles de Gaulle, on s'est lamenté de cette grande perte.
Quand Valéry Giscard d'Estaing à succédé à Georges Pompidou, on s'est lamenté sur la fin du gaullisme.
Quand Francois Mitterrand a succédé à Valéry Giscard d'Estaing, l'espoir d'un monde nouveau à soufflé, mais on s'est vite lamenté sur la perte des valeurs.
Quand Jacques Chirac (REP) a succédé à François Mitterrand, l'espoir d'un renouveau du gaullisme à vite cédé la place à une lamentation sur la perte des libertés.
Quand Nicolas Sarkozy a succédé à Jacques Chirac, on s'est lamenté sur la ( seconde) fin du gaullisme.
Quand François Hollande a succédé à Nicolas Sarkozy, l'espoir fou d'une république plus vertueuse à vite cédé la place à la désolation devant le spectacle d'un bateau à la dérive.
Quand Emmanuel Macron a succédé à François Hollande, l'espoir d'un grand coup de balai vertueux s'est vite évanoui devant l'affligeante évidence de la mainmise de la finance sur notre pays.
Je fremis en pensant à 2022, quand, devant une probable blonde, je regretterai la domination de l'argent.
Merci à nos politiques d'avoir, en à peine 50 ans, réussi à enterrer le dernier pays qui résistait la connerie humaine.
Quand Valéry Giscard d'Estaing à succédé à Georges Pompidou, on s'est lamenté sur la fin du gaullisme.
Quand Francois Mitterrand a succédé à Valéry Giscard d'Estaing, l'espoir d'un monde nouveau à soufflé, mais on s'est vite lamenté sur la perte des valeurs.
Quand Jacques Chirac (REP) a succédé à François Mitterrand, l'espoir d'un renouveau du gaullisme à vite cédé la place à une lamentation sur la perte des libertés.
Quand Nicolas Sarkozy a succédé à Jacques Chirac, on s'est lamenté sur la ( seconde) fin du gaullisme.
Quand François Hollande a succédé à Nicolas Sarkozy, l'espoir fou d'une république plus vertueuse à vite cédé la place à la désolation devant le spectacle d'un bateau à la dérive.
Quand Emmanuel Macron a succédé à François Hollande, l'espoir d'un grand coup de balai vertueux s'est vite évanoui devant l'affligeante évidence de la mainmise de la finance sur notre pays.
Je fremis en pensant à 2022, quand, devant une probable blonde, je regretterai la domination de l'argent.
Merci à nos politiques d'avoir, en à peine 50 ans, réussi à enterrer le dernier pays qui résistait la connerie humaine.
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