Toujours chez Bragelonne,
Les Chants de la terre lointaine de Arthur Clarke
Pas la meilleure des œuvres de l'auteur, loin de là.
On retrouve les constantes clarkiennes, amour de la technologie, optimisme envers le futur, un fond de métaphysique, et une volonté d'exalter tout ça en sentimentalisme rousseauiste.
Mais ça manque de souffle.
Quitte à célébrer le progrès je préfère Heinlein
Quitte à magnifier les sagas interstellaires, je préfère Brackett
Quitte à réfléchir à la place de l'homme dans tout ça, je préfère Asimov.
Mais Clarke est un de ceux qui m'ont instillé la SF dans le cerveau, alors rien que pour ça, je l'ai lu.
Et puis les livres de Bragelonne, sont BEAUX