Léonard Nimoy est décédé
« janvier 2015 | Accueil | mars 2015 »
Léonard Nimoy est décédé
Rédigé le 27/02/2015 à 23:05 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Il fait nuit, vous avez la grippe, il pleut, et vous venez de payer vos impôts ?
Envie de vous détendre un peu ?
Heureux fripons vous avez ARTE !
20h50 : Quelques heures de printemps. Drame français. Un quadragénaire désabusé parvient à se réconcilier avec sa mère lorsqu'il découvre que, condamnée, elle a programmé sa mort.
23h30 : Dans la brume, drame russo-allemand. en 1942, en Biélorussie, sous occupation nazie, un homme accusé de collaboration est conduit en forêt par deux résistants, pour y être exécuté.
alors ? heureux ?
Rédigé le 25/02/2015 à 22:02 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé le 24/02/2015 à 23:14 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé le 24/02/2015 à 22:51 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Aujourd'hui, nous avons interdit à 6 de nos concitoyens de quitter le territoire national, sous la raison qu'ils voulaient rejoindre DAESH
Par ailleurs, il est, semble-t-il, juridiquement impossible d'interdire à nos concitoyens de revenir sur le territoire national, en revenant de DAESH
Enfin, DAESH est, rappelons-le, une organisation terroriste qui nous a déclaré la guerre et qui demande à ses adeptes de faire des attentats sur notre sol.
Résumons : des psychopathes veulent faire péter des bombes chez nous, et on s'arrange pour interdire à ceux qui sont chez nous de s'en aller, et on permet à ceux qui sont ailleurs de revenir.
Dites moi, là, ceux qui nous gouvernent, en ce moment, vous avez récemment passé un test de QI ?
Rédigé le 23/02/2015 à 19:40 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé le 22/02/2015 à 13:14 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
de Michel Houellebecq
J'ai fini de le lire.
Disons tout de suite que je trouve absolument pathétique le procès en sorcellerie que quelques ignares bien-pensants lui ont fait. C'est leur hystérie d'autruche (la même que la diffamation envers Eric Zemmour) qui nous amène précisément à des situations telles que celle qui initie le roman, a savoir la disparition des partis républicains du jeu électoral démocratique.
Ce livre n'est PAS islamophobe. Ce n'est qu'un roman, Houellebecq a juste "exploré un possible" et non pas "décrit un probable".
Il décrit un enchaînement de circonstances précises (toutes possibles, mais pas forcément probables) dont la succession finit par amener un fin politique musulman au pouvoir.
Le héros houellebecquien, toujours aussi désespéré, est évidemment un observateur de choix de la déliquescence de la société républicaine, et finit lui aussi par renoncer à sa liberté d'être humain pour se soumettre (d'où le titre) au nouveau système.
Son dernier refuge sera une sorte d'état second, d'onirisme, évoqué au conditionnel (j'ai trouvé cet effet de style GÉNIAL), avec lequel il tente en dernier recours de créer une distance entre la réalité et ce qu'il va vivre, inéluctablement.
Encore un grand roman, audacieux et triste. J'ai adoré.
Il me vient une analogie à l'esprit. La "planche de Galton".
Il s'agit d'un dispositif ou des boules tombent verticalement le long d'une planche parsemée régulièrement de clous. Chaque rebond sur un clou, et donc choix "gauche ou droite", amène une trajectoire chaotique de la boule, qui finit par tomber en bas, dans un réceptacle. Plus le réceptacle est éloigné de l'axe vertical d'où la boule surgit, en haut du dispositif, plus il se remplit lentement.
Avec un grand nombre de boules, le niveau de remplissage de chaque réceptacle finit par donner une courbe de Gauss,
représentative de ce qu'on appelle en statistique la "loi normale".
Au centre, le résultat le plus fréquent, aux extrêmes les cas les plus rares.
une animation ici
Finalement, Houllebecq , en choisissant dans notre politique actuelle un enchaînement d'événements particuliers (équivalents aux clous) a exploré un des cas extrêmes.
Peut on lui faire grief d'avoir raconté, avec talent, un possible rare ?
Doit on benoîtement ingurgiter SEULEMENT les analyses convenues des journalistes, qui nous racontent des probables rassurants ?
A vous de voir.
Rédigé le 21/02/2015 à 13:48 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Chaque fois que je pouvais, j'écoutais ou lisais les réflexions de Philippe Bilger.
D'accord ou pas d'accord, peu importe : il me semblait qu'il portait un regard lucide et objectif sur la société, ça faisait plaisir par rapport aux dogmatiques.
Puis, cet après midi, à la radio, un auditeur, sans doute mal intentionné, lui a posé une question simple :
Du temps où il était procureur, et à l'occasion d'un réquisitoire particulièrement sévère suivi pourtant d'un acquittement, comment vivait il ceci le soir ? pas de doute ? de honte ? du culpabilité ? enfin bref quels étaient ses sentiments ?
Et j'ai découvert, dans les bafouillis embarrassés de sa réponse, dans les tentatives de bottage en touche, jusqu'à prétendre avoir oublié la question après un long laïus de diversion, un homme facilement donneur de leçons aux autres, mais qui ne supportait pas qu'un gueux lève la patte sur son piédestal.
Un médiocre de la trempe de ceux qu'il dénonce.
Il a été sauvé, in extremis de la noyade, par l'intervention autoritaire de la maitresse des débats, Mme Wendy Bouchard (oui , celle avec qui Grincheux ne passera pas ses prochaines vacances)
Bon vent, tigre intellectuel de papier inflammable.
Rédigé le 18/02/2015 à 23:12 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
La glace noire, de Michael Connelly
encore une enquête de l'inspecteur Harry Bosch.
Toujours aussi palpitante et un style toujours aussi spécial.
Je regrette néanmoins que l'auteur abuse de scènes de liaison dans lesquelles Harry, en voiture, sillonne Los Angeles, avec la description de son trajet, tel un GPS.
"il tourna dans la rue machin, mais comme c'était encombré il reprit la voie rapide du nord, il sortit à la sortie 10, il prit l'avenue truc, s'arrêta acheter un mcdo sur la place tartempion, puis etc ...."
Moi aussi je peux en faire des pages sans que l'intrigue n'avance. J'ai failli laisser tomber le bouquin à cause de ça.
Rédigé le 17/02/2015 à 23:05 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Les commentaires récents