bouquin de Jean Christophe Grangé.
Il faut avoir un gout pour le fond (encore des tueurs en série bien crades) et aussi une espèce de fascination morbide pour le frisson procuré par l'histoire, pour apprécier ce roman qui semble t il est encore le reflet de l'âme tourmentée de cet auteur.( cf les rivières pourpres).
Il reste un style très fluide, nerveux, et "bien écrit", bien documenté, une mise en perspective savante et bien vue du choc des cultures, de la persistance d'un inconscient collectif très Jungien au travers du vernis de l'assimilation.
Bizarrement, ce livre m'a fait penser à "l'Ile des morts" de Roger Zelazny, alors que les contextes sont très différents.