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Rédigé le 29/01/2014 à 19:39 | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
Quand j'étais jeune (et con) la mode était à la chanson bio gaucho écolo antimilitariste
on écoutait des trucs comme ça :
aujoud'hui je suis vieux (et con)
les jeunes (toujours aussi con) écoutent ça :
quel intéret à parler de ça ?
et bien simplement parce Daniel Vangarde (l'immortel interprète du premier morceau) est le père de Thomas Bangalter (l'immortel interprète du second) au sein du groupe Daft Punk qui est adoubé ce soir par la World Company
C'est le progrès.
Rédigé le 27/01/2014 à 20:01 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
à noter que le match Biarritz-Oyonnax (décisif en fin de tableau) est reporté pour cause d'intempéries.
en début de tableau, il est à remarquer que les 3 "gros" marquent le pas :
Toulouse, battu 25-9 par le Racing
Montferrand, battu 18-9 par Bayonne
Toulon, battu 23-10 par Brive.
certes, nombre de leurs joueurs de premier plan étaient absents (blessures ou sélection XV) mais on peut néanmoins s'interroger sur la profondeur du banc de touche, naguère si vantée, de ces 3 clubs.
Rédigé le 26/01/2014 à 12:33 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Les chinois ont déposé un robot sur la lune : le "lapin de jade".
Mais "lapin de jade" ne répond plus.
Les chinois confrontés aux mêmes problèmes que le reste de l'humanité : la qualité du "made in china"
Ya une justice.
Rédigé le 25/01/2014 à 19:17 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Chez Carrefour , on peut se charger de scanner soi même ses articles et payer directement.
Chez Mamm Kounifl (un bar de Locmiquélic - Morbihan), on peut se charger de rapporter soi même son verre au bar.
Chez Carrefour, c'est permis
Chez Mamm Kounifl c'est du travail dissimulé.
Suivant que vous serez puissant ou misérable.....
Rédigé le 23/01/2014 à 18:56 | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
Rédigé le 23/01/2014 à 18:12 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
La triste litanie des faits divers égrénée par nos quotidiens nous dresse un sombre tableau de l'insécurité ordinaire dans notre pays. A un point tel que cette répétition finit par exacerber, au delà de l'objectivité, le sentiment ressenti par nos concitoyens.
Cette anxiété diffuse, comme dans n'importe quel corps en souffrance, est combattue par divers mécanismes, dont un des plus courants est le "bouc émissaire": on trouve une justification toute faite, facile et simpliste au souci qui nous inquiète : "C'est la faute à X"
X peut être l'Etat, le grand patronat, la police, les immigrés, Wall Street, le chômage, Dieudonné, Valls , l'islam radical ou l'Europe et j'en passe... suivant nos convictions (ou nos aveuglements) du moment.
Mais dans cette démarche, je repère une injustice flagrante.
Elle réside dans la sémantique du terme "connu des services de police"
tapez ce texte dans votre fureteur préféré, et vous obtiendrez un bon exemple de la litanie citée en début de ma réflexion : une liste interminable de "supposés délinquants" interpellés par la police alors qu'ils sont en train de commettre leur 5°, 12° 25° ou 30° méfait.
Sémantiquement parlant, le citoyen anxieux, lui aussi cité plus haut, va, par un mécanisme automatique et inconscient, passer à la réflexion : "c'est la faute à la police, que fait la police ?"
Alors je pose la question : elle y peut QUOI la police ? Si elle RE-interpelle un MULTIrécidiviste qu'elle à MULTIprésenté à une justice qui l'a MULTIrelaché ?
Elle fait son boulot la police. Elle le REfait 5 , 12 , 25 ou 30 fois pour le même mec, mais c'est strictement son boulot.
Quant à la justice, 5, 12, 25 ou 30 fois, elle prend la décision de libérer un mec, et donc de RE faire travailler la police pour rien (tout en mettant en danger potentiel la société qu'elle est sensée défendre).
A une époque ou chaque sou compte pour l'Etat, j'aimerais qu'un économiste chiffre le coût de la gabegie consistant à faire REfaire à la police 5,12,25 ou 30 fois la même tâche, alors que la justice ne veut pas le faire une seule fois (toujours au nom de l'économie car construire des prisons serait trop cher). Et je ne parle même pas des victimes de récidive dont la justice se fout, et qui, elles aussi, sont un coût énorme pour la société.
Bref, au lieu de désigner la police à la vindicte populaire, que nos journalistes prennent l'habitude d'écrire un texte aussi vrai mais plus porteur de sens en remplaçant le sempiternel "connu des services de police" par "connu des services de justice".
Ce sera justice, pour une fois.
Rédigé le 22/01/2014 à 22:41 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Quand un homme politique, lors d'une cérémonie traditionnelle de voeux, les yeux dans les yeux, la main sur le coeur, vous sort un discours vibrant d'authenticité, traçant d'une voix posée et assurée le chemin radieux vers l'avenir, l'électeur de base se voit réconforté : enfin un qui y croit, enfin un qui va nous guider d'une main de fer vers un futur meilleur.
Evidemment, quand l'électeur de base se rend compte que ce discours est une copie, quasiment mot pour mot du discours d'un autre homme politique, il a un coup de mou, l'électeur.
Mais, comme l'électeur de base est un mouton, il retournera voter.
Il nous reste le rire, ou l'amertume, c'est vous qui voyez, mais écoutez ça, c'est hallucinant !
(à la fin vous reconnaitrez des commentaires des chroniqueurs de Ruquier, car Serge Llado passe dans son émission)
Rédigé le 21/01/2014 à 19:05 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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