J’ai bougé ma chaise. Un des chiens à mes pieds a ouvert un œil, pour surveiller. Un énorme soupir et il est reparti courir après des lapins oniriques.
France Info débite chronométriquement les délires d’un dictateur fou. Ma boite est pleine de méls publicitaires anglophones et viagrophiles.
C’est mon chien qui a raison. Je vais aller vagabonder avec lui, dans un rêve.
Ou peut être sans rêve.