Deux économistes américains, Robert H. Kingston et Arajuman S. Neville, de l'université Paul Helburm de Cincinnatti, viennent de défrayer la chronique en rendant à l'ONU un rapport explosif :
les efforts des ONG et des organismes caritatifs, comme la banque alimentaire mondiale sont, chacun le sait, destinés à améliorer le sort de populations déshéritées de par le monde (guerre, famine, etc ...)
Or, une grande partie de l'humanité (chiffrée à 1.25 milliards d'individus par les deux chercheurs) souffre de malnutrition plus ou moins chronique .
Chacun sait par ailleurs que la TAILLE d'un individu croit avec son bon état de santé général.
Les deux chercheurs ont donc chiffré ce que couterait l'augmentation de 1 cm (en moyenne) de ces individus "mieux nourris."
Ils ont ainsi balayé les incidences sur les vetements à refaire, les chaussures, la taille des manches des outils agricoles, le retard à la monte efficace d'un animal, la taille des tentes d'urgence, l'augmentation du carburant pour faire voyager un individu plus lourd, le moins grand nombre de places disponibles par véhicule etc ... et sont arrivés à un "surcout" mondial de 2,8 milliards de dollars ANNUEL par centimètre gagné...
Economiquement donc, l'ONU se tire une balle dans le pied en déboursant de l'argent qui va lui occasionner des frais supplémentaires.
Mais plutot que d'en arriver à une froide décision " ne rien faire car c'est plus rentable", les deux chercheurs proposent à l'ONU que de la dextrohydramine-3-phénylcholinestérone soit ajoutée aux rations d'urgence, en dose controlée.
En effet cet inhibiteur de l'hormone de croissance, utilisé en pédiatrie dans les cas de gigantisme pathologique, bloquerait la taille des enfants en phse de croissance à un niveau actuel contaté des adultes de la même population, tout en étant bien nourris.
Ce produit, connu depuis 25 ans , ne provoque aucun effet secondaire et est sans effet constaté sur un adulte ayant terminé sa croissance.
Le secrétaire général de l'ONU a accueilli assez fraichement ce rapport, déclarant qu'il le trouvait "contestable au plan éthique".
Par ailleurs, la ligue des droits de l'homme fair remarquer que le même raisonnement pourrait aussi s'appliquer aux citoyens des pays déveoppés, et trouve significatif que des chercheurs américains n'y aient même pas pensé.
Mais la cerise sur le gateau est venue de Pékin, ou selon des sources bien informées mais non confirmées, le gouvernement chinois appliquerait cette pratique depuis 8 ans déjà, avec des résultats encourageants ... !!
--------------
(quelle date sommes nous déjà ? ;) )
